Gilles Tissot

Other Events and Attributes:

• Fact: (1900–1926), Ottawa, Ontario, Canada; Familles Canadiennes-Françaises à Ottawa
• Occupation: Maniwaki, Québec, Canada

Notes:

Fact:
Clément Tissot, fils de Jean, suivit la carrière choisie par son père. Constable de la ville d’Ottawa, il épousa, en 1923, Bella Bisson, fille du marchand de la rue Rochester. De leurs dix enfants, deux moururent en bas âge. Les autres sont
Thérèse (1925), Jean-Marc (1927), Mariette (1928),Gilles (1930), Jacques (1931), Hélène (1932), Andrée (1935), Lise(1936). Après de multiples déménagements dont quelques années à Orléans P.O., et, pour Clément, quelques changements dans
sa carriére, la famille se fixa définitivement à Maniwaki en 1938 ou Clément fut chef de police pendant presque trente ans, prenant sa retraite en 1967.

Clément et Bella Tissot ont fêté, en 1983, leur soixantième anniversaire de mariage, entourés de leurs enfants qui sont tous mariés et établis.

Source: Georgette Lamoureux-- Histoire d'Ottawa--Tome IV-- Ottawa--1900-1926.
page 307-308

Occupation:
Chef de police à Maniwaki.

Clément married Bella Bisson in 1923. Bella (daughter of Philippe Bisson and Hélène Beaudet) was born in 1896; and died. [Group Sheet] [Family Chart]

Other Events and Attributes:

• Fact: (1900–1926), Ottawa, Ontario, Canada; Familles Canadiennes-Françaises à Ottawa

Notes:

Fact:
TISSOT — Les families arrivant au Canada en provenance de la France, de la Belgique ou de la Suisse venaient assez rarement s’installer à Ottawa car la majorité anglaise de la population n’était pas pour les attirer dans notre région. Cependant, le
Canada avait en Belgique, un excellent agent d’immigration en la personne de M. Désirée Tréau de Coeli dont la famille habitait la ville de Hull, Québec. En France, au début de ce siècle, la persécution du clergé et des communautés incitait
également certains chrétiens attachés aux traditions, à venir chercher ici la sécurité et la stabilité dans les croyances qui semblaient alors mal vues dans leur pays. Ainsi, les families Tissot, Baillot, Nizan et d’autres firent souche dans la région outaouaise.

C’est ainsi qu’arriva à Ottawa en 1908, venant de Belgique, la famille de Jean Tissot, comprenant sa femme née Marie de Guire et leurs enfants Virginie, Mariette et Clément. Trois autres enfants naîtront au Canada: Edgar, Rachel et Marcel.

Pendant vingt-cinq ans, M. Tissot fut detective de la Sûreté d’Ottawa. C’était un excellent limier mais aussi un bon chrétien et patriote car il fit partie de maints organismes canadiens-français, s’intéressant aux problèmes religieux et culturels des nôtres. Il était du Tiers-Ordre de St-François, de la Société St-Vincent de Paul et de la Ligue du Sacré-Coeur.

Après avoir été au service de la Sûreté d’Ottawa, il travailla pour celle de Rouyn puis de Montréal et prit sa retraite en 1945. Il s’installa alors à Limbour et y pratiqua l'apiculture jusqu’à l'âge de 82 ans. Il vécut ensuite a St-Lin-des-Laurentides jusqu’a ce qu’il soit hospitalisé à Montréal en 1965 ou il mourut a l'âge de 90 ans, sa femme étant décédée en 1947 à 73 ans.

À sa mort, M. Tissot laissait deux fils: Clément, chef de police à Maniwaki, et Edgar, de la Société des Artisans à Montréal, ainsi que trois filles; Mme Roy Casebier (Détroit), Mme Alfred Gratton (Ville St-Laurent) et Mme Marcel Tissot.

Les funérailles eurent lieu à Ottawa, à l’église du Sacré-Coeur, paroisse de la famille pendant son séjour dans la capitale. A la mort de l’ancien détective qui avait laissé d'excellents souvenirs ici, le «Droit» publia en premiere page de son edition du 30 août 1965, une borine photo de Jean Tissot et un résumé de sa carrière.

Clément Tissot, fils de Jean, suivit la carrière choisie par son père. Constable de la ville d’Ottawa, il épousa, en 1923, Bella Bisson, fille du marchand de la rue Rochester. De leurs dix enfants, deux moururent en bas âge. Les autres sont
Thérèse (1925), Jean-Marc (1927), Mariette (1928),Gilles (1930), Jacques (1931), Hélène (1932), Andrée (1935), Lise(1936). Après de multiples déménagements dont quelques années à Orléans P.O., et, pour Clément, quelques changements dans
sa carriére, la famille se fixa définitivement à Maniwaki en 1938 ou Clément fut chef de police pendant presque trente ans, prenant sa retraite en 1967.

Clément et Bella Tissot ont fêté, en 1983, leur soixantième anniversaire de mariage, entourés de leurs enfants qui sont tous mariés et établis.

Source: Georgette Lamoureux-- Histoire d'Ottawa--Tome IV-- Ottawa--1900-1926.
page 307-308

Jean married Marie De Guire. Marie was born cal 1874; died in 1947. [Group Sheet] [Family Chart]

Other Events and Attributes:

• Fact: (1900–1922), Ottawa, Ontario, Canada; Familles Canadiennes-Françaises à Ottawa

Notes:

Fact:
BISSON — Pour M. Jean-Bernard Bisson, le R.P. Gérard Provencher a fait la généalogie de cette famille dont l'ancêtre, Gervais, marie en France en 1640, a Marie Lereau, arriva au Canada vers 1652. Gervais fils naquit à Québec en 1664. À la 8ième génération, Philippe Bisson épouse Hélène Beaudet à Hull en 1888. Peu après son mariage, le couple s'installe rue LeBreton, pràs de Mme Philomène Lafontaine née Beaudet. Pour votre plaisir et le mien, j’ai reproduit dans ces pages, la photo de mariage de M. et Mme Philippe Bisson (page 267). À remarquer la ravissante petite mariée et sa très élégante toilette.

Plusieurs enfants naissent de ce mariage (onze en dix-huit ans). Ils seront tous baptisés dans l’église St-Jean Baptiste. Voici leurs noms:
Raoul 1889-1894.
Rodolphe 1890-1975 (Alice Vary) 16 enfants.
Philippe 1892-1918.
Fernando 1894-1955 (Claudia Landry) 3 enfants.
Lorenzo 1894-1895.
Bella 1896- (Clement Tissot) dix enfants.
Mélina 1898-1963 (Arthur Day).
Blanche 1900- (Conrad Nezan) neuf enfants.
Germaine 1902- .
Thérèse 1904- (Harry Peaker).
Rene 1906 (Gertrude Langton) sept enfants.

À partir de 1891, la famille Bisson habita le 340 de la rue Preston, près de Young. Tout d’abord, comprenant une petite épicerie, le commerce grandit rapidement et devint un important magasin général, entreprise familiale prospère à laquelle contribuèrent plusieurs enfants.

J'ai eu l’occasion de feuilleter un journal tenu par un membre de cette famille et j’y ai trouvé de nombreux détails sur l’existence des Canadiens français pendant les premières décennies du 20ième siècle; j’ai puisé là un aperçu de la vie quotidienne des gens de ce temps-là. Ainsi, la terrible catastrophe de cette époque fut le grand feu de 1900 qui détruisit les installations des plaines LeBreton, autrement dit le
Flatt, y compris le magasin de Philippe Bisson, que l'on reconstruisit aussitôt d’ailleurs, avec l’aide des secours financiers qui affluèrent de toutes parts. La Première Grande Guerre fut aussi cause de graves soucis pour cette famille qui
comptait des jeunes gens en âge de combattre. Plus tard, en octobre 1918, deux enfants furent atteints de la grippe espagnole et Philippe fils en mourut a 26 ans.

Mais, tout n’était pas que tristesse. Au chalet que la famille occupait ’été au-delà de Britannia et qui, selon la coutume, avait été béni par le R.P. Thériault, dominicain, on s'amusait ferme. On se baignait dans le lac Deschênes. On arborait le fameux costume de bain de l'époque; fait a la main par la maman, il consistait en une large culotte plissée à la jambe sous une robe a manches courtes. Portant une ceinture à la taille, le costume était en alpaca «pour ne pas coller».

La rigidité n’était pas seulement dans les moeurs. Le journal raconte ce qui suit: un ami de Rodolphe, le jeune Donat Pelletier, distingué et doué de grandes qualités, s’était enrolé pour faire la guerre des 1914. Il disait à son ami: «Tu sais, Rodolphe, je ne suis pas un orphelin comme les autres. Je suis illégitime. Alors, quelle jeune fille voudrait d’un mari tel que moi? C’est la raison pour laquelle je m'enrôle et j’espère ne plus revenir». Il n’en revint pas, en effet, et mourut la même année sur les champs de bataille de I’Europe.

En 1925, Philippe Bisson quitta les affaires et Rodolphe prit le commerce en mains; après lui, son fils Armand. En 1975, un incendie détruisit l'établissement et mit fin ainsi a une entreprise familiale qui avait duré quatre-vingt-quatorze ans.

Des onze enfants de Philippe (mort en 1938 a 73 ans) et d’Hélène (décédée en 1957 a 89 ans), quatre filles et un fils survivent. Depuis 1938, M. et Mme Clément Tissot habitent Maniwaki, Blanche, qui avait épousé le français Conrad Nezan, Germaine et Thérèse vivent a Ottawa ainsi que René et sa femme.

Source: Georgette Lamoureux - Tome IV sa population canadiens-français 1900-1926 - page 262-263

Residence:
A partir de 1891 la famille demeures à cette adresse.

340 Preston Ottawa, ON Canada

Buried:
Philippe BISSON
Notre Dame - Section O, Ontario

TRANSCRIPTION
BISSON Philippe Bisson 1863-1938 Époux de Hélène Beaudette 1867-1957 Louis Philippe Bisson Décédé en 1918 Mélina J. Bisson Épouse de Charles Arthur Day 1897-1963 Germaine H. Bisson 1902-1996 Thérèse S. Bisson 1904-1995 Épouse de Dr. Harry M. Peaker
ADDITIONAL NAMES

Hélène BISSON
Hélène BEAUDETTE BISSON
Louis Philippe BISSON
Mélina J. DAY
Mélina J. BISSON DAY
Charles Arthur DAY
Germaine H. BISSON
Thérèse S. PEAKER
Thérèse S. BISSON PEAKER
Harry M. PEAKER

SUBMITTED BY: memac_donald@sympatico.ca on 2013-09-15 13:13:17

Philippe married Hélène Beaudet in 1888 in Hull, Québec, Canada. Hélène was born in 1867; died in 1957; was buried in 1957 in Ottawa, Ontario, Canada. [Group Sheet] [Family Chart]